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15 octobre 2011, un match qui s’annonçait quelconque devint le fait plus marquant de la saison de Ligue 2. Suspensions, peines de prison, Furiani est provisoirement apaisé quand les autres clubs corses continuent de faire parler d'eux en dehors du sportif. Le sport sera-t-il à l'honneur dans cette revanche?
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Invité par le site A.S. Mousquetaires à présenter le Racing Club de Lens, le Moustache Football Club vous présente ce qui devait être THE match de la journée de Ligue 2, voire l'affiche de la saison. Las, il s'agit d'un match de bas de classement entre le 13e et le 18e... Comme dit Didier Super, il faut mieux en rire que de s'en foutre, donc acte !
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Ces dernières années, le RC Lens, c'est un peu la grenouille qui se voyait plus grosse que le boeuf. Il y a encore 5 ans, on promettait au club des Houillères de détrôner l’ogre lyonnais. Après deux accidents graves, les Sang et Or recherchent la recette de leur succès, loin des strass et des paillettes.
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J'ai pris l'avion pour la Corse, j'ai vu du soleil, j'ai vu des Corses, ils étaient sympas, j'ai discuté avec eux, j'suis allé à Bastia, j'ai encore vu des Corses, j'ai mangé d'la charcuterie, elle était trop bonne : "Oh! Trop bonne votre charcuterie!". J'ai rediscuté avec eux, ils étaient toujours sympas, j'suis allé à Furiani, j'ai vu d'autres Corses, ils étaient moins sympas, voire même pas sympas du tout du tout. J'me suis demandé ce que ressentait un gladiateur dans une fosse aux lions, j'ai ressenti la même chose. Bref, j'suis allé à Furiani.
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En provoquant une bagarre sur le terrain suite à un mauvais geste de Samba Sow, Furiani et l'équipe bastiaise n'ont pas failli à leur réputation de terre houleuse. Déjà dans le collimateur de la Ligue et de la Fédération, le club du SC Bastia risque gros. Le Moustache Football Club s'octroie un droit de réponse à l'égard d'une presse corse partisane et revient sur les événements sur le terrain, dans les vestiaires et dans les tribunes.
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Pour rentabiliser son très lourd investissement sur la Ligue 1, Canal+ est prêt à tout pour la rendre attrayante. Se calquant sur la liga espagnole, la chaîne cryptée a commencé par baptiser les PSG-OM de « clasico ». Pas très original et historiquement inexplicable, le terme est malgré tout rentré dans le jargon du ballon rond. Flairant le bon coup marketing pour attirer le téléspectateur, Canal avec son commentateur vedette Grégoire Margotton enchaîne les noms frisant le ridicule mais dont le milieu s’accommode : après « l’Olympico » (Lyon-Marseille) et le « Prolifico » (Marseille-Lille), le blog En Pleine Lucarne nous informe que le PSG-Lyon sera baptisé « le Capital ». Au Moustache Football Club, nous lançons un Margothon et vous offrons un premier échantillon des affiches auxquelles vous aurez droit.
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Depuis le mondial 98, les stades français sont réalisés avec des tribunes entièrement assises, tuant peu à peu les tribunes populaires. Grace à l’acharnement de quelques irréductibles, la tendance pourrait s’inverser et les kop redeviendraient debout.
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Chaque année, aucun club n’y échappe, le mercato permet de renforcer, remodeler voire bouleverser son effectif en espérant le faire progresser au mieux. Le Moustache Football Club s’est penché sur l’incidence qu'ont ces mouvements estivaux sur les résultats. Le constat est flagrant : la réussite du début de saison sourit à ceux qui ont misé sur la stabilité.
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Ce week-end, la Ligue 2 a repris avec une saveur inattendue, celle d'avoir changé de statut. Par l'arrivée de deux habitués de la Ligue 1, par la présence d'anciennes gloires de l'élite solidement ancrées dans l'antichambre mais également par la diffusion de ses matchs par l'intermédiaire de la nouvelle chaîne Cfoot.
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Nous avons vu que les dérives des clubs étaient souvent liées aux errances des hommes qui les dirigeaient. Cependant, le passage au XXIe siècle semble avoir modifié la donne et a compliqué les intentions des clubs rétrogradés de repartir du bon pied. Pourquoi ? Car les contraintes économiques pour une équipe qui descend deviennent très difficiles à gérer. Mis à part Strasbourg qui dispose d'un parcours assez chaotique en interne, Metz, Nantes ou Guingamp, habitués aux joutes de la Ligue 1 dans les années 90 n'ont pas su relever la tête. Pourtant l'analyse est fort simple...
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Je me souviens de cette une de France Football… Hilton, Seydou Keita et d’autres avec en titre : « Lens, le géant de demain ». Une preuve de plus qu’il ne faut pas accorder de crédit à « la bible du football », sinon, Borisio Ferrara serait probablement ballon d’or à ce jour… Lens, on ne peut pas imaginer à quel point ce club est ancré dans l’identité du bassin minier et souvent encrée sur la peau des plus acharnés. Un club qui partageait des valeurs qui se perdent, celles d’un football populaire, de gaillards courageux, capable d’exploit malgré leurs limites techniques et leur facies de paysans, avec un public si à part… Un club qui aujourd’hui connait sa seconde descente en 3 ans et dont le flou total autour de sa gestion complique la tache des bookmakers.
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Le verdict est tombé, Bordeaux, Lens, Lille, Lyon, Marseille, Nancy, Nice, Paris et Saint-Denis, seront les villes hôtes qui accueilleront l'Euro en 2016. Petit tour d'horizon des 9 stades sélectionnés et des 2 "vaincus".
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